Accueil » Lithothérapie : Bienfaits des propriétés des énergies des pierres et des cristaux » Pourquoi entretenir ses Pierres ?
Dans tout travail d’entretien avec les pierres, la notion d’entretien qui rassemble les mĂ©thodes de purification et les mĂ©thodes de rechargement revient très rĂ©gulièrement. Nombreux sont les amateurs de lithothĂ©rapie qui ont entendu parler de telles techniques, mais peu d’entre eux sont en mesure de comprendre leur utilitĂ© ou leur fonctionnement. Reprenons cette partie essentielle du travail avec les pierres dès son commencement
Les minĂ©raux sont des Ă©lĂ©ments extrĂŞmement stables et simples dans leur constitution , mais qui se forment sur des temps très longs en comparaison d’une vie humaine. La plupart des pierres de protection utilisĂ©es en LithothĂ©rapie auront mis au moins des centaines, et plus probablement, des milliers voire millions d’annĂ©es Ă se former. Dans notre existence, nous vivons selon un rythme prĂ©cis : chaque matin nous nous levons et commençons notre journĂ©e, pour au soir avoir dĂ©pensĂ© l’Ă©nergie (physique, mentale, mais aussi subtile comme maniĂ©e en lithothĂ©rapie) dont nous disposions. La nuit vient ainsi comme une remise Ă zĂ©ro afin de nous renouveler, de remplir Ă nouveau nos batteries afin d’ĂŞtre prĂŞts et en forme le lendemain et pourquoi dĂ©marrer la journĂ©e suivante.
Le rythme de renouvellement de l’Ă©nergie humaine est ainsi de 24h. Dans ce court laps de temps, on pourrait mĂŞme dire dans ce laps de temps minime au regard des temps gĂ©ologiques, nous faisons circuler dans notre corps et dans notre vie une grande quantitĂ© d’Ă©nergie.
Ce rythme de renouvellement de l’Ă©nergie est cependant fort diffĂ©rent en ce qui concerne l’Ă©lĂ©ment minĂ©ral. La formation de ces richesses naturelles Ă©tant très longue, leur rythme spontanĂ© de modification de leur Ă©nergie s’Ă©tend Ă©galement en consĂ©quence.
ConfrontĂ©e Ă l’être humain lors d’un travail en lithothĂ©rapie, la pierre est plongĂ©e dans un univers dense au rythme extrĂŞmement soutenu en comparaison de ses « habitudes ». Il est alors du rĂ´le de son propriĂ©taire de veiller Ă compenser ce changement radical s’il ne souhaite pas rendre son travail inutile ou voir sa pierre s’abĂ®mer.
Deux mouvements essentiels et opposĂ©s s’opèrent naturellement lors d’un entretien avec une pierre et un ĂŞtre humain. Le premier conduit la pierre Ă se « vider » de son Ă©nergie en la transmettant Ă l’individu qui se soutient par sa prĂ©sence. Cette Ă©nergie est alors le vĂ©hicule des propriĂ©tĂ©s souhaitĂ©es, et c’est elle qui va nous permettre de bĂ©nĂ©ficier de ces fameux « bienfaits ». Dans ce mouvement naturel, le « rythme humain » entraĂ®ne une fatigue de la pierre qui ne sera au fur et Ă mesure plus en condition de transmettre ses propriĂ©tĂ©s. Mais ce mouvement n’Ă©tant pas le seul Ă se jouer, nous allons pouvoir aller encore plus loin.
Dans le mĂŞme temps que l’entretien de votre pierre, alors que celle-ci transmet son Ă©nergie lors du travail de soutien, l’individu va de son cotĂ© se dĂ©lester du surplus d’Ă©nergies dĂ©sagrĂ©ables qu’il a rĂ©cupĂ©rĂ© ou lui-mĂŞme produit au cours de la vie quotidienne. Naturellement, la pierre va alors remplacer son Ă©nergie manquante par l’Ă©nergie humaine qu’elle cĂ´toie. La plupart du temps ces Ă©nergies sont celles du stress, de la tension, ou dans des travaux plus profonds celles de la souffrance ou de la colère.
Si toutes ces Ă©nergies ont leur place dans l’ordre des choses, et constituent un passage nĂ©cessaire Ă de nombreuses avancĂ©es, elles n’en sont pas moins dĂ©sagrĂ©ables, pouvant crĂ©er des blocages ou des entraves au travail entamĂ©. Il est donc très important de trouver des solutions pour dĂ©gager nos pierres de ces « charges dĂ©sagrĂ©ables » et de nettoyer ainsi les pierres de notre propre Ă©nergie.
Les disciplines Ă©nergĂ©tiques emploient couramment les termes d’Ă©nergie « positive » et « nĂ©gative », donnant ainsi l’impression que certaines Ă©nergies peuvent ĂŞtre classĂ©es dans le camp des « gentilles » qui nous aident tandis que le grand complot des « mĂ©chantes » essaye de leur barrer la route. Mais le monde des Ă©nergies n’est pas manichĂ©en. Aucune Ă©nergie n’a de rĂ©alitĂ© immuable et constatable par tous.
Aussi chaque personne peut percevoir une mĂŞme Ă©nergie Ă sa manière, plus ou moins agrĂ©able. C’est cette notion d’agrĂ©ment personnel qui va en dĂ©finitive permettre de qualifier une Ă©nergie de « positive » ou de « nĂ©gative ». Il est plus pertinent en somme de parler d’Ă©nergie « qui nous est agrĂ©able » ou d’Ă©nergie « qui nous est dĂ©sagrĂ©able ».
De nombreux tĂ©moignages parlent de transformations visuelles des pierres utilisĂ©es dans les travaux intenses, que ce soit dans le sens de l’exaltation des Ă©nergies de rĂ©alisation de soi, ou dans les grandes Ă©preuves de vie. Quelques altĂ©rations classiques tĂ©moignent de fonctionnements Ă©nergĂ©tiques dans un sens ou dans l’autre et peuvent conditionner les traitements dans les entretiens de vos pierres. Ils ne constituent cependant pas une loi rĂ©ciproque : entretenir ses pierres ou non ne provoque pas forcĂ©ment de changements de la pierre. Il ne s’agit lĂ que de cas particuliers pouvant ĂŞtre rencontrĂ©s au cours de votre cheminement.
Changement de la couleur d’une pierre : lors d’un travail très Ă©prouvant, il arrive qu’une pierre perde de sa couleur et devienne plus pale, ou que des couleurs vives laissent place Ă du marron… Il s’agit gĂ©nĂ©ralement d’une fatigue de la pierre dont l’Ă©nergie aura Ă©tĂ© sollicitĂ© trop rapidement et/ou avec trop d’intensitĂ©. Il convient alors de mĂ©nager l’outil en question et d’utiliser des mĂ©thodes d’entretien de vos pierres plus fortes (comme par exemple l’enfouissement). Gardez tout de mĂŞme Ă l’esprit qu’une pierre altĂ©rĂ©e ne retrouve que très exceptionnellement (et dans des cas d’altĂ©ration lĂ©gère) sa couleur d’origine.
A l’inverse, il arrive Ă©galement que des couleurs deviennent lĂ©gèrement plus intenses dans un travail Ă©panouissant. De tels changements ne se constatent gĂ©nĂ©ralement qu’avec une attention spĂ©cifique (par exemple photo avant et après).
Modification des reflets de surface : toutes les pierres Ă reflets sont sensibles aux variations de leur aspect de surface. De la mĂŞme manière que la couleur d’une pierre, il arrive que des reflets se fassent plus pauvres ou plus intenses en fonction de la fatigue ou de l’exaltation Ă©nergĂ©tique de l’outil en question.
Fissure ou cassure d’une pierre : On parle rĂ©gulièrement des cassures de pierres, mĂŞme accidentelles, comme « n’Ă©tant pas dues au hasard ». Si cette affirmation peut ĂŞtre considĂ©rĂ©e comme plus ou moins fondĂ©e selon les croyances de chacun, elles rĂ©sultent cependant d’un phĂ©nomène impressionnant et entièrement dĂ» au mouvement des Ă©nergies dans la pierre. Il arrive que des pierres utilisĂ©es dans des situations d’extrĂŞme densitĂ© Ă©nergĂ©tique (que ce soit en positif/agrĂ©able ou en nĂ©gatif/dĂ©sagrĂ©able) se fissurent ou se cassent spontanĂ©ment sans le moindre choc.
Il existe des phĂ©nomènes rares. Par exemple : Un environnement concurrentiel a l’extrĂŞme sur un lieu de travail peut ainsi amener une pierre entièrement sertie Ă se briser d’elle-mĂŞme sans bouger du cou de sa propriĂ©taire. A l’inverse, une prière très intense et pleine d’espoir dans une Ă©glise aux Ă©nergies bienveillantes peut Ă©galement provoquer cette « surcharge d’Ă©nergie », proche dans son principe d’un choc thermique. Dans ces situations, il convient d’apporter Ă la pierre altĂ©rĂ©e les mĂŞmes soins qu’Ă toute autre pierre cassĂ©e.
On ne le dira jamais trop : une pierre n’est pas un ĂŞtre humain. Cette information n’implique en aucun cas un manque de respect envers le minĂ©ral. Bien au contraire : considĂ©rer la pierre au travers d’un philtre anthropomorphique conduit immanquablement Ă ne pas l’Ă©tudier dans sa spĂ©cificitĂ©, et Ă terme Ă ne pas lui apporter les soins et les considĂ©rations qui lui conviennent.
C’est ainsi que de nombreux lithothĂ©rapeutes sont amenĂ©s Ă considĂ©rer une pierre fissurĂ©e ou cassĂ©e comme « étant Ă moitiĂ© morte » ou inapte au travail des Ă©nergies. Cependant pas de paniques, sachez que si les pierres n’Ă©taient pas cassĂ©es Ă un moment ou Ă un autre, nous aurions tous une montagne dans notre salon. Etre cassĂ©e une ou plusieurs fois fait partie du rythme naturel de la roche et du minĂ©ral : lorsque les cristaux poussent, ils font des fissures naturelles en fonction des obstacles et des pressions qu’ils rencontrent. Le cycle naturel du minĂ©ral est un cycle de construction puis d’Ă©rosion, de sĂ©dimentation et de mĂ©tamorphose qui conduisent Ă la crĂ©ation de nouveaux minĂ©raux.
Ainsi, mĂŞme rĂ©duits en poudre, les minĂ©raux conversent une Ă©nergie propre et gardent la possibilitĂ© de s’associer aux Ă©lĂ©ments rocheux qui les entourent pour former une nouvelle « vie Ă©nergĂ©tique ». N’est-il pas rassurant au final qu’avec la roche nous avons un Ă©lĂ©ment vouĂ© Ă nous survivre et Ă renaĂ®tre de ses cendres ? Sans ces fascinantes propriĂ©tĂ©s du minĂ©ral, le travail avec les pierres ne serait sans doute pas aussi prenant.
Si une pierre cassĂ©e n’est pas « morte » comme pourrait l’ĂŞtre un ĂŞtre humain Ă qui il manque la tĂŞte, son Ă©nergie se trouve tout de mĂŞme provisoirement altĂ©rĂ©e par cette modification. A chaque changement de forme extĂ©rieure, la pierre prend un temps (proportionnel Ă son rythme de renouvellement d’Ă©nergie) pour redĂ©finir ses contours. Dans l’attente de cette nouvelle stabilitĂ© les outils fissurĂ©s ou cassĂ©s peuvent prĂ©senter ce que l’on appelle des « fuites Ă©nergĂ©tiques », c’est-Ă -dire des points par lesquels l’Ă©nergie de la pierre s’enfuit plus aisĂ©ment qu’Ă l’accoutumĂ©e. De tels outils sont donc difficiles d’utilisation pendant cette phase, puisqu’une certaine fatigue Ă©nergĂ©tique s’installe.
Si le rythme de renouvellement d’Ă©nergie de la pierre peut ĂŞtre long (plusieurs mois voire annĂ©es), les techniques d’entretien de vos pierres permettent de rĂ©duire ce temps Ă quelques semaines. Deux morceaux distincts d’une pierre cassĂ©e deviennent ainsi utilisables sĂ©parĂ©ment comme n’importe quelle autre pierre.